Aucun siège à l’ONU
L’ONU est sans doute un fantasme pour beaucoup de peuples: certains n’étant pas représentés.
Sur une autre page de ce site vous avez pu apprendre que Taiwan n’a pas de siège à l’Assemblée Générale de l’ONU, mais qu’un petit pays comme Andorre en a un.
Si la normalisation mondiale de certains secteurs comme: la poste, la santé, le travail, la propriété intellectuelle… sont importants, l’ONU (l’Assemblée Générale) n’est qu’une vitrine qui n’apporte rien à un pays. Pire même: certains organismes de l’ONU fonctionnent très mal, comme ce livre nous le décrit:
Présentation de l’Editeur:
Guerre en Yougoslavie, en Irak, en Palestine, au Venezuela, en Afrique… Que fait l’ONU, à quoi sert-elle ? Et du reste qu’en sait-on ? Quelques images rapides à la télévision de réunions du Conseil de sécurité, quelques courtes interviews de son Secrétaire général et parfois le débarquement des Casques bleus dans une région du globe avec quelques idées reçues : l’ONU coûte cher, les fonctionnaires internationaux sont des nantis, etc. Première enquête d’investigation journalistique au sein du système onusien et de ses organisations internationales, celle-ci intervient à un moment où se pose avec force dans plusieurs grands conflits la question du rôle et de l’efficacité de l’ONU. Faut-il brûler l’ONU ? est donc un livre d’actualité. Enquêter au sein de l’ONU conduit à un constat interne accablant : le droit du travail est quasiment inexistant, l’emploi d’une précarité insoupçonnée – sauf pour les hauts fonctionnaires internationaux nommés aux postes de direction par les Etats, essentiellement les grandes puissances occidentales qui s’octroient 60 % de ces postes -, la justice inique, le harcèlement psychologique, sexuel et le mobbing répandus, la répression syndicale importante, etc. Mais ce n’est pas tout. A cette situation interne s’ajoute le bilan catastrophique de plus d’un demi-siècle d’ONU. […] Que reste-t-il de la Charte des Nations Unies ? Faut-il vraiment brûler cette Organisation qui ne serait plus que « le machin » de quelques grandes puissances ?
L’auteur vu par l’éditeur:
Ancien collaborateur du groupe Les Echos, Jean-Loup Izambert, journaliste indépendant, enquête sur les cercles de pouvoir et les réseaux financiers internationaux. Ce livre est le résultat de plusieurs mois d’investigations sur l’ONU dont il a ramené témoignages et documents saisissants.